Toutes ces idées trouvent leur inspiration dans l'observation du monde vivant et des mécanismes fabuleux qui en régentent son fonctionnement.
L'objectif des informaticiens est de simuler à l'intérieur de l'ordinateur, certaines fonctions du cerveau de l'homme. Des essais de greffage de cellules nerveuses humaines se développant à la surface d'un circuit électronique en silicium sont en cours.
L'idée est d'utiliser l'ADN comme moyen de représentation.
Le "crossbar-latch" ou "matrice de verrous", est un concept dévoilé par HP.
Une grille de fils microscopiques, reliés à leur intersection par des molécules, de dimensions si petites que l'on pourrait en placer des milliers en travers d'un cheveu humaine.
Le "crossbar-latch" évolue dans un espace de 2 à 3 nano-mètres, contre 60 nano-mètres pour les transistors en silicium.
Hp annonce des applications pratiques possible dés 2011, avec l'introduction de procédés molléculaires dans des chips à 32 nanomètres. Ce pour autant que le temps de bascule soit amélioré (point faible du procédé).
D'autres imaginent les molécules organisées en réseaux et reliées entre elles par des tubes de carbone. Le tout formerait alors une puce moléculaires.
Les recherches sont en cours. Mais à l'heure actuelle c'est la voie de l'ordinateur quantique qui suscite le plus d'espoirs.